La dysmorphie financière survient lorsqu'il existe un écart entre la perception et la réalité des finances d'une personne, ce qui entraîne une peur de dépenser, même avec des réserves, ou des dépenses impulsives, même dans le négatif. Peu de gens savent exactement combien ils doivent gagner pour couvrir leurs dépenses, maintenir des réserves et s'offrir des loisirs, ce qui entraîne cette distorsion. Une enquête de Will Bank montre que 7 personnes sur 10 n'utilisent pas de mots positifs pour décrire leur situation financière. Les réseaux sociaux amplifient le problème, créant des normes inatteignables et générant de la fragilité, de l'insatisfaction et un sentiment de retard, en particulier chez la génération Z, qui se compare constamment. L'étude indique que 69 % des personnes perçoivent que les influenceurs sur les réseaux sociaux montrent une réalité très éloignée de la leur. L'impact va au-delà des finances : il y a un vide, une dépression et un stress quotidien, et 99 % des personnes interrogées ressentent un certain degré de distorsion financière.